Algérie : Nouvelle année, nouvelles attentes.

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Algérie : Nouvelle année, nouvelles attentes.

Le peuple algérien entame la nouvelle année 2024 avec de nouvelles  d’attentes, de voir sa situation socioéconomique améliorée et pouvoir entamer l’avenir avec sérénité. Comme c’est le cas  des autres pays de la planète, l’Algérie est affectée par la guerre  en Ukraine  et ses conséquences ont assombri les perspectives de reprise  économique. La pandémie de Covid 19 ,  dans les économies émergentes et en développement , a déjà laissé des blessures, encore saignantes  dans beaucoup de pays. Ceci dit que l’activité économique est resetée  enlisée durant trois années, 2020-2023 pendant que les chocs des prix de l’énergie ont envoyé au tapis beaucoup d’économies. Voilà la conjoncture dans laquelle  le président algérien, Abdelmadjid Tebboune  est arrivé au pouvoir avec comme urgence de relancer des programmes post-COVID pour maintenir le cap. D’ailleurs il a fait de l’amélioration du quotidien des algériens et de la justice social son principal crédo. Et cela ne peut pas se faire sans une augmentation des salaires des travailleurs qui pourront, enfin, respirer et pousser un ouf de soulagement. Ainsi, un budget  de 590 milliards de dinars a été consacré pour les augmentations de salaires, dans le cadre de la loi de finances 2024. Et ce projet s’est matérialisé par la décision   de procéder à une augmentation des salaires, au cours de 2023-2024, entre 4500 DA/an et 8500 DA/an selon les catégories. Ce qui fait que les augmentations au cours des années  2022, 2023 et 2024 atteignant 47%. Ce n’est pas tout. Abdelmadjid Tebboune a axé son programme sur  une augmentation du seuil minimum de la pension de retraite à 15000 DA.

Le seuil minimum des salaires, a lui aussi  connu une augmentation  de 18000 DA à 20000 DA depuis 2021. Dans la même perspective, le président algérien  a tenu songer à l’amélioration des conditions de vie des chômeurs qui ne travaillent pas. l’allocation chômage qu’il leur a allouée, a connu  également une augmentation  de 13000 DA à 15000 DA nets d’impôts en plus de la prise en charge par l’État des charges de la couverture sanitaire de cette catégorie de personnes  pendant la période de bénéfice de l’allocation. Il n’est pas vain, d’ajouter que  les salaires de moins de 30000 dinars seront exonérés de l’IRG (impôt sur le revenu global) ce qui permettra à beaucoup  de salariés d’aborder l’avenir avec moins de soucis.

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