L’ancien président du Sénégal Abdou Diouf a dévoilé quelques anecdotes qui figurent dans ses Mémoires. Notamment le moment où l’ancien dirigeant de la Libye, Mouammar Kadhafi lui avait demandé la main de sa fille de 16 ans !

Diouf a failli être le beau-père de…Khadafi

Encore lui, toujours lui depuis quelques jours !  Qu’arrive-t-il donc à notre ancien Président ? Une vraie pie, depuis qu’on a annoncé « sa » Francophonie dans nos murs. Cela cache-t-il quelque chose ? En tout cas, pour quelqu’un qui n’ouvrait la bouche que pour dire : « Eliza,  j’ai faim,  Eliza, j’ai soif ! », il est devenu très bavard ces temps-ci. Il  risque même de dépasser son successeur, quand, en 2002,  les Lions nous étaient revenus auréolés de la CAN.

Mais revenons à Ndiol Ndiambour.  Après la publication de ses mémoires et une petite visite automatique à Tv5, histoire d’assurer la promo du bouquin, il a récidivé avant-hier, à France 24. Où, de nouveau, nous avons eu droit à des confidences insoupçonnées et croustillantes.

Pour peu, en effet, Abdou Diouf allait avoir pour gendre, un homme à femmes redouté appelé Kadhafi. C’est au cours d’une séance de travail au Sénégal, que l’œil du prédateur insatiable de Tripoli tomba sur une fille de l’ancien Président Diouf. Devant l’intérêt subit qu’il manifestait, on la lui présenta, alors. Et l’affaire parut en rester là. Mais  dès son retour en Libye, le chaud lapin, qu’il était, se dépêcha  d’envoyer une  forte délégation au Sénégal. Il voulait coûte que coûte  « importer », la magnifique fille aux yeux de biche qu’il avait vue à  Dakar.  Il voulait l’épouser taf taf, disait-il.

Informé, Abdou Diouf  crut d’abord que celui qui voulait être son gendre, souhaitait épouser son ainée. Mais quand il apprit que Kadhafi ne mourait d’amour que pour Yacine, la mignonne cadette, tout de suite, son sang ne fit qu’un tour. Ah  ça, jamais !!!! Tout sauf ce coureur de jupons qui, malgré ses milliards, n’hésite pas à « puiser »  dans sa garde présidentielle féminine, quand  les affaires le retiennent tard au bureau. Astaghfourlah !  Tout, sauf ce pistolet auto mitrailleur !

Clap de fin donc pour le projet. Mais est-ce qu’entretemps, Diouf avait reçu les petits cadeaux circonstanciels dus au beau-père, quand on veut épouser sa fille ? Ses confidences n’ont pas été jusque-là.
 Cébé