Coup de filet historique contre les trafics de faux médicaments et de pilules hallucinogènes : Un 5ᵉ entrepôt démantelé et des centaines de substances toxiques saisies
Dans une opération d’envergure contre le crime organisé, la Gendarmerie nationale a porté un nouveau coup aux réseaux de contrebande en démantelant un cinquième entrepôt, révélé hier soir. Selon les dernières informations, près de 900 cartons remplis de produits toxiques, incluant des médicaments falsifiés, des stocks massifs de pilules hallucinogènes et des cosmétiques cancérigènes, ont été interceptés, mettant en lumière l’ampleur du danger sanitaire.
Ce raid s’inscrit dans une lutte sans relâche menée par les forces de l’ordre pour démanteler les filières illégales.
Dans un communiqué officiel, la Gendarmerie a rappelé que ces actions visaient à « protéger en priorité la santé publique face à ces substances mortelles ». L’opération fait suite à une campagne récente marquée par l’interception de deux camions chargés de psychotropes et l’arrestation de plusieurs suspects, dont des vendeurs actifs sur le marché noir.
Les enquêteurs soulignent que ces saisies successives révèlent l’infiltration profonde des réseaux criminels dans le secteur de la santé. Alors que les produits contrefaits, souvent indétectables pour le grand public, circulent via des circuits parallèles, les autorités renforcent leurs moyens d’investigation pour traquer les responsables.
Cette cinquième découverte confirme une stratégie en escalade des trafiquants, mais aussi la détermination des unités spécialisées à les contrer. Les suspects arrêtés sont actuellement en garde à vue, tandis que les analyses des substances se poursuivent. Une enquête judiciaire est en cours pour remonter jusqu’aux commanditaires de ce trafic de stupéfiants et de fauxmédicaments, qualifié de « menace silencieuse » pour la société.
Une chose est sûre, Le chef d’état majore de la Gendarmerie Nationale, le Général Ould Taya, à inauguré son mandat par une saisine record de stupéfiants et substances psychotropes à Nouakchott
À suivre…