Le référendum, un terme qui est commun au sahara occidental et au sud soudan. Dans les faits, l’un est indépendant et l’autre coure toujours. En 1972, le problème de l’autodétermination des populations du sahara occidental sera l’une des crises les plus graves auxquelles l’ex l’ouA sera confrontée. Cette colonie espagnole fut cédée par la puissance colonisatrice au Maroc et à la Mauritanie qui avaient formulé des revendications sur ce territoire. Certes, l’avis consultatif de la Cour internationale de Justice confirma l’existence de liens historiques entre les populations du sahara occidental et celles du Maroc et de l’Algérie, mais recommanda l’organisation d’un référendum sur l’autodétermination. En 1976 fut proclamée la république Arabe sahraouie Démocratique par le Front Polisario, son admission en 1982 comme Etat membre de l’ouA provoqua le retrait du Maroc de l’organisation en 1985. Mais, depuis 1991, un cessez-le-feu entre le Maroc et le front Polisario prévoit l’organisation par l’oNu d’un référendum sur l’autodétermination. Et jusqu’à nos jours ce référendum tarde à voir le jour contrairement au sud soudan qui, après la signature d’un accord de paix signé en 2005 entre les rebelles et le gouvernement soudanais pour l’organisation d’un référendum d’indépendance du sud soudan, c’est aujourd’hui une réalité. La secrétaire d’Etat américaine hillary Clinton n’avait-elle pas raison de dire que ce référendum au sud soudan constituait « une bombe à retardement » allusion sans doute au sahara occidental où la communauté internationale peine à organiser ce référendum ? En tout cas l’attitude de la communauté internationale pour ce qui concerne ce référendum au sahara occidental prête à équivoque et soulève un certain nombre de questions, dans un contexte caractérisé, par une révolte du printemps arabe et des affrontements violents au sahara occidental. Ainsi selon des observateurs, tous ces éléments envoient au possible reprise de la lutte armée, une option qui sera au centre des débats du congrès du Front Polisario prévu en décembre prochain à tifariti.
Dossier réalisé Par Ould Ebeyé
Pour cela nous vous proposons une première partie de ce dossier sur le conflit afin de vous édifier sur son enjeu régional et international.
A quelques jours de la tenue du dernier round des pourparlers informels sur le Sahara Occidental, entre le front Polisario et le Royaume du Maroc, les Nations Unies avaient souhaité que les parties prenantes part aux discussions, parviennent à des “progrès”. Selon Ban Ki-Moon “, sept rounds de pourparlers informels pour résoudre ce conflit ont été organisés, dont trois durant l’année en cours. Ceci est encourageant, mais les positions des deux parties sont très opposées”, ce qui est frustrant, a déploré Ban Ki-Moon qui vient d’être reconduit dans son poste pour un nouveau mandat. “Notre priorité est la résolution de cette question”, a-t-il affirmé dans un entretien à une agence de presse depuis New York. L’ONU cherche une solution politique au conflit qui soit “juste, durable et acceptée par les deux parties”, mais les positions demeurent diamétralement opposées. Depuis le lancement par l’organisation, du processus de négociations pour parvenir à une solution politique acceptable mettant fin à un conflit vieux de plus de 36 ans, le Polisario, fort du droit international, n’a pas changé dans ses positions, en s’obstinant à prôner comme unique solution au conflit, le référendum d’autodétermination. Ce territoire désertique
de 267 000 km2 est devenu brusquement un enjeu qui attise les querelles de leadership régional. Mais tout dépend du rapport des forces intermaghrébines.
La République arabe sahraouie démocratique
c’est en 1884, après la conférence de Berlin consacrée au «partage de l’Afrique», que les Espagnols s’implantent sur la côte du Sahara occidental, en face de l’archipel des îles Canaries conquises depuis le XVe siècle. Jusqu’au milieu du XXe siècle, l’Espagne ne maintient qu’une bien faible autorité sur ce territoire dénommé Río de Oro (il était autrefois traversé par l’une des grandes routes de l’or du Soudan vers le Maroc).
Le Sahara-Occidental était une colonie espagnole ; face au mouvement de décolonisation qui s’était amorcée à la fin des années 1950 en Afrique, ce territoire se devait lui aussi d’évoluer et de se décoloniser. Faut-il le souligner, il s’agit d’un territoire à décoloniser dans le cadre de la résolution 1514 (XV) du 14 décembre 1960 relative à la « déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et aux peuples coloniaux par l’exercice du droit à l’autodétermination ».
Au cours des années 1960, l’Espagne était en faveur de l’exercice de ce droit par le peuple du Sahara espagnol. En 1966, le Comité spécial de l’ONU a demandé à la puissance régnante de définir, en conformité avec les aspirations de la population autochtone du Sahara espagnol, et en consultation avec les gouvernements de Mauritanie et du Maroc et de toute autre partie intéressée, les procédures pour la tenue d’un référendum, sous les auspices des Nations Unies, en vue de permettre à la population de ce territoire d’exercer librement son droit à
l’autodétermination. La Mauritanie, le Maroc et l’Algérie ont appuyé ce principe d’autodétermination adopté par l’ONU, il y a exactement plus de 40 ans.
Les choses changent avec la découverte d’un important gisement de phosphates à BouCraa Cette perspective est à l’origine du sentiment national sahraoui.
La période de 1966 à 1974 fut une période assez active autour du problème du Sahara espagnol et de l’application de l’autodétermination. L’Espagne franquiste voulait, à travers le référendum, assurer avec les notables sahraouis la pérennité des intérêts espagnols sur les phosphates et sur les richesses halieutiques. Le roi du Maroc entreprit de contacts avec le caudillo Franco pour l’exploitation en commun des richesses du Sahara, l’octroi des bases militaires et la mise en sourdine des revendications sur Ceuta et Mellila, mais Franco ne fut pas réceptif aux propositions marocaines.
Ainsi le Front Polisario est créé en 1973.
Le Maroc estime avoir des droits sur ce territoire qui, avant la période coloniale, faisait partie de sa prétendue zone d’hégémonie chérifienne: il veut les faire valoir. L’évacuation du Sahara par les Espagnols, en 1975, précipite les événements, et laisse le champ libre aux Marocains qui organisent la «marche verte» et occupent le territoire. Le Front Polisario, qui réclame l’indépendance du Sahara occidental, proclame une «République arabe sahraouie
démocratique». Elle sera progressivement reconnue par 72 États et admise à l’OUA en 1982, qui devient en l’UA en 2001 dont la République Arabe Sahraoui Démocratique devient non seulement membre ; mais membre fondateur.
La tension régionale
Elle opposait jusqu’en 1979 à des degrés divers les trois États voisins: la Mauritanie, le Maroc et l’Algérie. Les argumentations développées sont d’ordre historique, politique et économique, et varient selon les parties concernées. La revendication marocaine s’enracine dans l’histoire. Vieil État-nation, le Maroc, disloqué par la colonisation (partagé entre la France et l’Espagne), veut reconstituer une entité nationale qu’il souhaite la plus large possible, dans le cadre du «Grand Maroc» rassemblant toutes les terres autrefois sous domination marocaine. Par ailleurs, le contrôle de la mine de Bou Craa conforterait sa position sur le marché mondial des phosphates (le Maroc en est le 3ème producteur et le 1er exportateur mondial)
La Mauritanie
La Mauritanie avant sa reconnaissance en 1969 par le Maroc était défavorable à la mainmise marocaine sur le Sahara Occidental craignant son voisinage. Après sa reconnaissance, les choses évoluèrent favorablement entre les deux pays jusqu’à parvenir après 1975 à un partage du territoire sahraoui ! Ainsi la Mauritanie, au nom de la continuité géographique, ethnique et culturelle, formulait autrefois (depuis son indépendance) des revendications sur les territoires qui étaient occupés par l’Espagne.
Après c’est le partage entre le Maroc et la Mauritanie avant que cette dernière ne se retire en 1979 et laisse une confrontation armée entre le Maroc et le Front Polisario.
L’Algérie pour sa part, qui n’a pas de revendication territoriale à formuler, ne peut se désintéresser du sort du Sahara Occidental. Elle défend le respect des frontières héritées de la colonisation. En soutenant cette thèse, proclamée par l’OUA dont la majorité des membres a reconnu la République Arabe Sahraouie Démocratique (RASD), elle songe non seulement au Sahara Occidental mais à ses propres frontières sahariennes avec le Maroc. Les revendications de Rabat sur Tindouf et Bechar ont conduit en effet à la guerre des sables de 1963. Les conceptions géopolitiques sont donc parfaitement opposées. Quant au peuple sahraoui, l’expérience montre qu’il est animé par un sentiment national vif et profond. Il est récent et se forge dans la lutte qu’il conduit.
Etat des lieux du conflit
Pour les observateurs et bien sûr l’administration américaine actuelle, le conflit du Sahara Occidental constitue une source, d’instabilité et de discorde du Maghreb qui était apprécié par l’ancienne administration. Jusqu’a présent rien n’est encore imposé au Maroc ni au Polisario qui a accepté contrairement au Maroc, le « Plan Baker II». Mais avant d’entrer dans les détails, voyons d’abord les faits se reportant au dossier du conflit du Sahara Occidental.
Malgré, les efforts déployés, les experts consultés et la grande quantité de dollars dépensés, l’ONU a montré son incapacité à résoudre le problème du Sahara Occidental jusqu’à présent. Depuis 1975, cette affaire a « brûlé » quatre sinon cinq secrétaires généraux de la plus grande institution internationale ( Kurt Wald-heim , Perrez de Cuellar , Boutros Boutros Ghali , Koffi Anan et voila aujourd’hui Ban Ki-moon) et autant d’envoyés spéciaux de différentes nationalités dont l’avant dernière grosse pointure en l’occurrence J Baker. Tout ce cortège de personnalités a « buté » sur le même problème : l’incapacité de pouvoir trouver une solution ou à déterminer le corps électoral Sahraoui. Chacune s’est posée la même question durant son mandat : « Qui est Sahraoui ? » Devant une question aussi simple, en apparence, et jusqu’a présent, il n’y a pas eu de réponse adéquate. Et si jamais on arrive à le déterminer ce qui est improbable, la solution des problèmes n’intéresse pas beaucoup la majorité des parties concernées directement ou indirectement.
Le Polisario
Pour ce qui est de l’autodétermination revendiquée par le Polisario, cette dernière s’accordait au recensement espagnol de 1974, qui avait donné le chiffre de 74.000 sahraouis, il faudrait bien souligner que sur ce chiffre, quelques membres de la direction du Polisario ne figuraient pas sur le dit recensement. Il est clair donc que ce recensement était incomplet. Un peu plus tard, le propre M. Cuevas (Directeur espagnol du dit recensement) reconnaîtra ce que la partie marocaine défendait. Soit dit en passant que le grand « oubli » et le recensement de 1969 qui à son temps a donné plus de 260.000 Sahraouis, quand l’Espagne, Essayait, alors a tout prix d’empêcher la tenue du referendum que lui réclamait la communauté Internationale.
L’Espagne En ce qui concerne 1’Espagne, ex-puissance coloniale, elle a toujours eu une position suspecte concernant le problème du Sahara Occidentale. On dirait que ni Paix, ni guerre l’intéresse mais seulement maintenir le statu quo actuel. La vente de l’Armement au Maroc et 1’envoi de dollar -pour le soutien au Polisario a titre d’Aide « Humanitaire «, le démontre. Elle s’aligne ainsi avec art et avec froideur aux adages populaire : « Une main blesse et 1’autre soigne », « Une main tue et 1’autre prie » Présenter la joue officielle au Maroc et la joue extra- officielle au Polisario.
L’algérie
En ce qui concerne l’Algérie, le pays du Maghreb Arabe frontalier avec le Maroc et ayant partagé l’histoire de la résistance coloniale. L’Algérie pour le Polisario. «Solidarité » et celle du Maroc « Coopération».
La Mauritanie
Pour la Mauritanie ,ainsi, donc après son désengagement 1979 et nonobstant sa position négative considéré par les observateurs et spécialistes de la région au cours de ses 3 dernières années Nouakchott est rester la seule capitale qui a su gérer la situation du conflit au niveau territorial et au niveau régional (intermaghrébins), et a choisit la neutralité positive sinon adéquate depuis le 3 Août 2005. Ainsi vu les affinités culturelles (dialecte hasaniya, vêtements, quelque coutumes) et surtout ethniques (tribales) entre sahraouis et Mauritaniens. La Mauritanie, a su mener une relation de considération avec la République Arabe Sahraoui Démocratique (RASD) et de fraternité et coopération avec le royaume du Maroc. Pourtant cette position, aurait puis être exploitée pour un rapprochement des points de divergences de protagonistes, en convergence avec les parties médiateurs.
Le Maroc
Quant au Maroc après l’acceptation de l’organisation du referendum d’autodétermination du peuple sahraoui. Et après avoir avancer l’idée, d’une autonomie administrative dans le cadre de la « troisième voie » en réponse à la proposition de l’envoyé spécial du SG de l’ONU en date du mois 05/2001.
Après le vote du Conseil de sécurité des Nation Unies le 31 juillet 2003 ; Le Maroc s’était estimé léser par la solution adoptée par le CS de NU, pour le futur statut du Sahara Occidental. Le projet appelé plan Baker II prévoyait l’instauration d’un régime semi-autonome dans le territoire pendant une période de transition de quatre à
cinq ans, avant la tenue d’un referendum qui devrait déterminer le statut de l’ancienne colonie espagnole, annexée en 1975 par le Maroc. Le Maroc est donc passé à plusieurs L’évolution de la situation depuis 1975 Le conflit sahraoui s’est progressivement décanté, se limitant à un strict cadre régional.
La Mauritanie, qui dans un premier temps s’est liée au Maroc dans une politique de partage du territoire sahraouis, s’est désengagée rapidement (1979).
La construction du «mur» marocain après 1981 a marqué un tournant stratégique. Il semble que ce remblai isole efficacement 200 000 km2 de «Sahara utile» sur les 267 000 km2 du territoire. Le Maroc a consenti de très gros investissements dans le territoire qu’il a ainsi recouvré et a organisé un mouvement migratoire. Il estime avoir refait une grande partie de son handicap territorial saharien en occupant l’intégralité ou presque du terrain abandonné par les Espagnols. L’actuel conflit d’usure peut se poursuivre longtemps en dépit de son coût.
Ce conflit freine la coopération maghrébine et empêche la constitution du Grand Maghreb souhaitée par les peuples des États de la région. En 1988, des espoirs de règlement se font jour, mais la situation reste délicate. Le plan de paix de l’ONU accepté par le Maroc et le Front Polisario proclamant un cessez-le-feu (6 septembre 1991) et l’organisation d’un référendum d’autodétermination (début 1992), a buté sur des obstacles qui se sont dressés sur le chemin de la paix. Le référendum est retardé et n’a toujours pas eu lieu. Les opérations d’enregistrement des électeurs sahraouis ont débuté en août 1994 mais ont rencontré des difficultés. Les Sahraouis installés dans des camps en Algérie (dans la région de Tindouf) sont 150 000. La base du corps électoral est celle établie en 1974 lors du recensement effectué par l’Espagne qui avait dénombré 74 000 personnes, mais le Maroc a proposé une liste complémentaire de 120 000 noms.
Pour le Maroc, la consultation à laquelle il s’est finalement rallié devrait se réduire à un référendum confirmatif sur l’intégration du Sahara au royaume chérifien. De son côté, le Front Polisario ne peut accepter un scrutin dont les conditions de préparation et de déroulement ne garantissent pas la libre expression des Sahraouis.
positions : du referendum, au cadre de la «troisième voie » en passant par le plan autonomie . Aujourd’hui le Maroc tente,selon des observateurs, par des moyens dilatoires d’empêcher la tenue du referendum que lui imposent les accords de paix Les américains et la question du sahara occidental Quant aux américains, alliés stratégiques d’Israël, n’ont donc aucun intérêt à hâter la fin dudit conflit et donc d’ouvrir la voie à une construction réelle d’un Maghreb qui pourra, alors jouer un rôle plus important tant sur le plan économique qu’international, y compris l’affrontement israélo-palestinien. Par ailleurs, les relations économique entre les USA et l’Algérie sont, et de loin, plus importantes que celles qu’entretient l’Amérique avec le Maroc.
L’Algérie est stratégique pour les Américains, ne serait-ce que sur le plan énergétique. Dans les relations internationales, ce sont les intérêts qui priment et non les bons sentiments. Plus, en gardant le conflit du Sahara ouvert, ils disposent d’une épée de Damoclès au dessus de la tête d’Alger et sur tout de Rabat. Une épée qu’ils brandiront pour les neutraliser dans ce qu’ils font aujourd’hui en Irak, et dans ce qu’ils feront demain en Iran, et en Syrie après demain !?
Ainsi, la résolution 1495, adoptée à l’unanimité par le conseil de sécurité est reconnue comme la solution politique optimale et alternative qui se repose sur un accord entre les deux parties. C’est au lendemain de l’adoption de la résolution 1495 que deux choses naissent: 1°/ Après le rejet par le Maroc du plan Baker II et dans le cadre des pourparlers qui ont lieu à cette occasion, le Maroc avait proposé deux projets d’autonomie, le premier a été considéré par la communauté internationale comme étant dépourvu de sens. Le deuxième dont le Maroc avait réitéré en Avril 2006 constitue actuellement l’unique sinon la dernière chance du Maroc par rapport aux ropositions concrètes sur le concept d’une autonomie que propose à la communauté internationale dans le cadre de la résolution du conflit du Sahara occidental.
La deuxième chose, c’est l’impasse dans laquelle se trouve la MINORSO qui a été renouvelée à maintes reprises.
Selon un haut responsable américain à des journalistes qui l’interpellaient en avril dernier au siège de l’ONU à New York. Le renouvellement de ce mandat, a-t-il affirmé, est «l’un des plus difficiles et des plus controversés». Il est «compliqué et fastidieux, a-t-il expliqué, en raison des divergences de points de vue au sein du Conseil “.
A propos du retard pris dans la publication du rapport du Secrétaire général de l’ONU et du refus du Maroc d’inclure dans ce document, le projet d’un système de surveillance des droits de l’homme, le responsable américain a souligné que “nous sommes évidemment très conscients que la question des droits de l’Homme est importante et préoccupe tous les membres du Conseil ». Et d’ajouter que «nous continuerons à essayer de comprendre le contexte des négociations et chercher exactement comment l’aborder et reconnaître l’important progrès réalisé”.
D’un autre coté et selon les propos publiés dans un magazine marocain naguère ; le professeur Bernabé Lopez de Université Autonome de Madrid et spécialiste du dossier. Avait souligné que : «le citoyen marocain, a été canardé durant plusieurs années par la thèse officielle disant que l’affaire du Sahara était définitivement réglée suite au rattachement du territoire, en 1974 et 1979, au Maroc , Alors qu’aujourd’hui le marocain se trouve à présent face à une réalité qu’il aura du mal à assimiler : Et que la communauté internationale attend encore une solution à cette question » Une question, qui est très souvent débattue au conseil de sécurité des NU, et depuis le verdict de la cour internationale de la justice, le dossier est au niveau des instances onusiennes tout en devenant une centrale dans la vie des marocains.